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Petit spéculum de l'administration

Posté : sam. 10 nov. 2007 14:20
par Binano
http://www.souslesjupesdesfonctionnaires.com/

La vie d'un blogger-fonctionnaire... plein d'humour.
(Toute ressemblance avec des personnes ou des situations existantes ou ayant existé ne saurait être que fortuite) :D

Re: Petit spéculum de l'administration

Posté : dim. 11 nov. 2007 14:33
par Dowoi
C'est vraiment bien écrit !! :shock:

Re: Petit spéculum de l'administration

Posté : dim. 11 nov. 2007 14:55
par Binano
Dowoi a écrit :C'est vraiment bien écrit !! :shock:
C'est clair !

Imagines, c'est peut-être ton voisin de bureau :shock:

:mrgreen:

Re: Petit spéculum de l'administration

Posté : dim. 11 nov. 2007 15:16
par Dowoi
lol pas de Samantha slave sur mon lieu de travail :(

Re: Petit spéculum de l'administration

Posté : ven. 16 nov. 2007 08:59
par Binano
Je ne sais pas dans quelle administration il bosse mais c'est pas comme chez nous non plus :shock:
Pas de jolie Natacha Riboldi-Vauvart... :roll:
Par DB, mardi 13 novembre 2007 à 21:24 a écrit :

Le cul de NRV (la jolie Natacha Riboldi-Vauvart) est absolument magnifique. C’est une pleine lune, quelque chose de vraiment superbe, avec deux beaux hémisphères bien rebondis. Une fessée administrée avec soin l’animerait de façon je suis sûr merveilleuse. En plus, la mignonne serait surprise, ouvrirait de grands yeux, et sa bouche à faire des pipes formerait (là aussi, j’en suis certain) un adorable petit o. Allons, allons, nous sommes maintenant tous les deux en excellents termes, et le temps où je rêvais de lui faire subir un châtiment corporel exemplaire (et mémorable) s’éloigne à toute vitesse (mais si, mais si…).

La craquante est actuellement fort occupée (comme tous les cadres territoriaux ici bas) par la préparation du budget municipal. Elle s’agite, monte me voir dans mon bureau du 3e étage (là où personne – à part elle – ne vient jamais), descend les escaliers à toute vitesse, pique des sprints dans les couloirs. La voici de nouveau devant moi, examinant page par page, de manière aussi attentive qu’enfantine, des dossiers remplis de chiffres. Elle fait glisser une mèche de cheveux bruns derrière son oreille, incline la tête, pose (de façon absolument délicieuse) son index sur ses lèvres (geste montrant à quel point sa réflexion est profonde), puis me regarde d’un coup en souriant. Et son derrière, son postérieur merveilleux, qui est là, à portée de main, remarquablement moulé dans un pantalon blanc. Et la voilà qui se penche, me le montrant dans toute sa plénitude, avec l’assurance joyeuse et ingénue que possèdent toutes les choses parfaites.